et 1,et 2, et 3, et mon ex

Tu as une belle collection en ta possession,ça fait rêver.

A+

Merci a toi Okrasa

Ils sont branchés où les injecteurs qui se trouvent sur le collecteur d'admission?,je vois qu'un doseur et qu'un plateau sonde??

aha !!!je vois encore qui ne lisent pas toutes les rubriques !!!
c est un test !!!!

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j ai trouvé ça sur le net , mais le mieux c de demander a vagsport

Une grande berline essence de 170 chevaux qui consomme moins de 6 litres aux 100 km, c’est la prouesse de la nouvelle Audi A5 1.8 TFSi, obtenue avec l’aide d’une double injection. Une technologie astucieuse qui permet de réduire les inconvénients de l’injection directe.

L’injection directe se diffuse parmi les moteurs essence. Elle permet de diminuer la consommation et les rejets de CO2 mais elle occasionne de plus grands rejets de particules fines. En particulier au démarrage où la pression d’injection peut être insuffisante. Un problème qui peut être réglé avec un deuxième injecteur, indirect cette fois-ci, utilisé pendant ces phases polluantes. L’un et l’autre sont alors utilisés, séparément ou de concert, au moment le plus opportun pour réduire ces particules fines.


Ce dispositif est apparu en 2006 sur une voiture de grande diffusion, la Lexus GS 450h. C’est aujourd’hui au tour d’Audi avec son 1.8 TFSI de l'utiliser avec des volumes certainement plus importants. Ce moteur est lancé sur l’Audi A5 et va progressivement équiper la gamme : A3, A4, A6. Autre avatnage de cette technologie qui pourrait en tenter d'autres, elle permet au moteur d’Audi de répondre à la norme euro 6 qui entrera en vigueur en 2015. Dores et dejà, Toyota a annoncé qu'il l'emploierait sur sa prochaine FT-86.

A noter aussi que Nissan utilise aussi un système de double injection (PFI) mais son principe est différent. Les injecteurs sont similaires et affectés à chaque soupape d’admission, ce qui leur permet de diffuser des gouttelettes de carburant plus fines et d’améliorer la combustion.